- La rencontre d’un ami :
Sa tristesse était palpable lors des obsèques, mais cela ne l’avait pas
découragé pour autant. Son désir d’être un éclaireur était toujours aussi
fort. Il était déterminé à apprendre toutes les techniques pour devenir
éclaireur. Pour cela, il se rendit à Ordenum où une école enseignait
justement cette discipline. Parmi les élèves en formation, il fit la
connaissance d’un jeune Ordénien nommé Herik Denoisel. Très vite ils
devinrent amis partageant les mêmes ambitions et le même rêve : la
découverte d’Olympia. Pour Alexvodka, c’était un peu pour retrouver les
traces de son père… pour sa mémoire.
La formation achevée, il fallait mettre en pratique leur connaissance. Ainsi
ils participèrent à différentes courses d’orientation ou d’endurance où ils
se révélaient être de bons coureurs. Ces deux garçons gagnaient en effet
plus souvent que les autres. Les épreuves réconfortaient Alexvodka qui se
disait prêt à partir pour la grande aventure. Il décida avec son ami Herik
de prendre les affaires puis de filer vers leur premier périple.
- La formation d’un groupe :
Les aventures d’Alexvodka et d’Herik n’étaient qu’à leurs balbutiements
mais très vite des événements et des circonstances firent changer un peu
leur plan. En effet, ils firent la rencontre de Spike une mage néophyte et
de Ragounia, une jeune fille voulant être soldat, toutes les deux étaient
de Lardanium. Leurs premières expériences les amenèrent sur l’île de la
mer d’Emeraude. Il y avait là-bas une grotte sous contrôle des Paladins et
des Chevaliers noirs, des factions appartenant respectivement à
Lardanium dirigées par le Seigneur Ackron et à Ordenum par le Seigneur
Slash. Sur cette île, Alexvodka ne pouvait pas extraire les minerais de
pierre car trop peu d’expérience mais il découvrit pour la première fois
l’existence des autres races notamment des Nains mais aussi des
Hommes Sauvages et des Elfes ! Les langues n’étaient pas similaires
d’une race à l’autre mais Alexvodka les avait apprises durant son
enfance, ce qui était normal pour tous les jeunes Olympiens. Il découvrit
alors la diplomatie mais c’était surtout Herik Denoisel qui montrait plus
d’aisance dans l’art de manipuler les mots. Il était courtois, persuasif et
admirablement bon dans l’écriture.